La Suzuki Splash s'inscrit dans la même lignée et s'illustre en tant que véhicule petit format. Apparue en 2008, elle obtint immédiatement un grand succès grâce à sa forme adaptée à la fois à la vie citadine et à la campagne.
Un confort digne des plus grands et une classe simple
Ce qui marque immédiatement avec la Splash, c'est la sobriété qui s'en dégage. Ne se voulant pas une automobile tape-à-l'oeil, elle dégage pourtant une force certaine. Des courbes simples mais efficaces, des phares haut placés et permettant un champ large, et des dimensions de même pas quatre mètres de long sur un mètre et demi de large. En terme d'intérieur, il est à noter que l'on retrouvera ici un cuir très confortable, ainsi qu'une panoplie d'accessoires et de gadgets améliorant grandement l'ergonomie de conduite. Airbags intégrés, systèmes d'aide à la conduite tels que ABS et radars divers, sièges chauffants et climatisation personnalisable, l'on pourra ici ressentir un plaisir certain à la conduire et une aisance à s'y installer.
Des caractéristiques très respectables
En terme de caractéristiques pures, il est à préciser que la Splash est munie d'un moteur à essence de trois ou quatre cylindrées de 65 à 86 chevaux, ou d'un diesel quatre cylindrées de 75 chevaux. Avec sa transmission par traction et sa boîte manuelle à cinq vitesses ou automatique à quatre rapports, elle bénéficie d'une puissance non négligeable. De manière globale, elle est proposée à un prix variant entre 10 000 et 15 000? selon les versions, ce qui est abordable pour toute personne voulant une automobile bien équilibrée. Très facile d'utilisation, elle peut se reposer sur une consommation relativement faible, une sécurité omniprésente et une tenue de route bien présente grâce à l'adhérence de ses pneus et à sa direction assistée. En définitive, on peut donc affirmer que la Suzuki Splash reste dans la droite ligne de la politique Suzuki. Véhicule très complet, elle reste pourtant sobre et sera ainsi adaptée à toute catégorie de conducteurs, des jeunes aux plus âgés.
