Bien que le choix de transformer le Defender d’un tout-terrain rustique et basique en une bête luxueuse fut critiqué par les afficionados, Land Rover s’en lave désormais les mains. Après tout, la marque vend plus de nouveau Defender en un mois…que d’anciens en un an ! Ce nouveau facelift ne change donc pas une recette qui marche.
Différences subtiles
Différencier l’ancien du nouveau est un réel jeu des 7 différences chez Land Rover. Allez, on vous donne un coup de main. Le Defender mis à jour s’offre une signature visuelle légèrement différente. Il y a toujours les « yeux » ronds, mais les petits points aux extrémités sont désormais remplis. Les feux arrière sont désormais teintés. Ça change tout non ?
Il y a également deux nouvelles teintes de carrosserie – Woolstone Grey et Borasco Grey – et une teinte exclusive pour le Defender Octa. Après le gris et le cuivré, le plus puissant des Defender est désormais disponible en bleu (Sargasso Blue).
Nouvel écran et nouveau diesel. Hein, quoi ?!
La plus grande différence de ce facelift est à trouver dans l’habitacle. L’écran tactile de l’infodivertissement passe de 11,4 à 13,1 pouces. Parmi les mises à jour qu’on voit moins, il y a aussi un nouveau système de surveillance du conducteur.
Sous le capot, on trouve toujours l’hybride rechargeable, le V5 compressé de 5,0 litres, le V8 biturbo 4,4 litres de l’Octa, ainsi que le 6-cylindres 3,0 litres diesel. Ce bloc hybride léger change d’ailleurs ses puissances, la version de 300 ch étant remplacée par une nouvelle variante de 350 ch et 700 Nm de couple.